Métro, boulot, dodo.

Publié le par Loopirate

Chaque matin et cinq fois par semaine à raison de deux fois par jour, je prends les transports en commun.

Que vous êtes tristes chers Franciliens, un peu sauvages.

Les yeux rivés sur le portable à regarder l'actualité de votre réseau social préféré, les écouteurs dans les oreilles pour écouter votre musique préférée.

Seuls au monde où rien ne vous arrivera. Vous en êtes sûr ?

Aux : " Pardon, excusez-moi." Certains ne bougent pas. A ce moment là, je vous compare aux monuments de Paris. Bougent-ils ? Eh bien, Non! Sortir de la rame pour la fluidité des clients sortants ou montants dans le wagon. Que nenni! Trop facile.

Et le sac à dos. Il est dans le dos et il y reste. Pourquoi le retirer ? Et bien, nous ne sommes pas tous de la même taille. J'ai déjà vu des usagers s'improviser contorsionnistes pour respirer.

Et les parents bienveillants ne pliant pas la poussette de leur bambin. Gagner de la place pour deux voyageurs de plus. Oh non!

Assis sur le strapontin, la place est chaude, la foule monte est de plus en plus serrée . Ami voyageur, pourquoi bouger ? Se lever ? Imaginez, un malheureux coup de frein. C'est deux personnes sur un strapontin.

Aussi des fois, je vois des personnes de toutes origines, de tout âge libérer leurs places pour les autres (femmes enceintes, vieux, handicapés, pardon personnes à mobilité réduite...) Des Franciliens civilisés.

J'en ai fini avec ce billet d'humeur. Quoique....

Publié dans billets d'humeur

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